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Les américains réclament la transparence sur les étiquettes alimentaires
Huit consommateurs sur dix voudraient que la loi entre immédiatement en vigueur La Food and Drug Administration a récemment édicté de nouvelles normes qui impliquent un changement radical des tableaux nutritionnels pour les produits alimentaires en vente aux États-Unis. Les étiquettes devront comporter : l’indication des calories en très grands caractères sur le devant de l’emballage, le contenu en sucres ajoutés et le pourcentage nutritionnel de l’apport journalier recommandé que représente le produit, l’indication du nombre de portions contenues dans l’emballage et la quantité moyenne par portion, l’indication, en poids et non en pourcentage, des sels minéraux et vitamines et, enfin, chaque mention devra se référer aux valeurs officielles des doses journalières. Afin de permettre à toutes les entreprises, y compris aux plus petites, de s’adapter à ces changements, la FDA a proposé une période d’adaptation de 18 à 24...
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Obligation d’inscrire l’origine sur l’étiquette pour les produits dérivés de la tomate
Les dispositions du décret introduisent l’expérimentation pendant deux ans Le décret interministériel signé par le ministre des Politiques agricoles Maurizio Martina et le ministre du développement économique Carlo Calenda instaure l’obligation d’indiquer l’origine des produits dérivés de la tomate. Il faudra désormais indiquer le lieu de culture et de transformation du légume. Cette nouveauté très attendue a été annoncée au forum de l’association Coldiretti à Cernobbio. Le gouvernement impose donc des directives et obligations strictes contre les tomates étrangères. L’étiquette des concentrés, purées et sauces contenant au moins 50 % de tomate devra obligatoirement comporter les informations relatives à la provenance et à la transformation. Si ces phases se déroulent sur les territoires de plusieurs pays, les mentions suivantes peuvent être utilisées selon la provenance : Pays UE, Pays non UE, Pays UE et non UE. Dans le seul cas où...
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Récolte des olives en phase de reprise mais encore en-dessous de la moyenne
Des hauts et des bas, le doux et l’amer pour la production de l’huile d’olive en Italie. La récolte des olives a commencé ces jours-ci dans toute la péninsule. Selon l’estimation de la Confédération générale des cultivateurs directs, ou Coldiretti, et du Cno (Consortium national de producteurs d’olives) les chiffres de 2017 devraient être supérieurs à ceux de l’année dernière, mais encore en-dessous de la moyenne par rapport aux dernières décennies. L’enquête, menée par l’observatoire des marchés du Consortium, a mis en évidence une augmentation de 50% pour la saison 2017/2018, en ayant prévu environ 273 mille tonnes d’huile contre les 182 mille tonnes de 2016/2017. Par contre, celle de 2016/2017 avait été la pire récolte des 50 dernières années. En effet, déjà l’année précédente, en 2015/2016, les chiffres étaient nettement supérieurs, à savoir 474 mille tonnes, ce qui...
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Étiquette alimentaire, un allié précieux pour le consommateur
Il est fondamental de savoir lire les informations nutritionnelles pour protéger sa santé L’idéal serait de posséder son propre potager, son propre élevage d’animaux, ou bien de toujours s’adresser à d’excellents producteurs dont on connait toute la filière. Mais cela n’est pas toujours possible. C’est pourquoi les étiquettes alimentaires deviennent un instrument fondamental pour le consommateur et il est nécessaire de les lire pour choisir les aliments de manière à préserver sa santé et à faire des achats en toute connaissance de cause. Il est important de savoir que certaines des informations indiquées sont obligatoires et règlementées par des lois nationales ou européennes spécifiques, tandis que d’autres sont facultatives ou complémentaires. Étant donné que la principale fonction d’une étiquette alimentaire est d’informer le consommateur sur les caractéristiques réelles du produit, toute illusion quant à ses propriétés qualitatives ou nutritionnelles...
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Système « feu rouge » pour les étiquettes alimentaires
L’Italie dit non au système simpliste qui pénaliserait ses excellences Vert veut dire OK, rouge équivaut à STOP. Un véritable « système feu rouge » est appliqué aux étiquettes alimentaires en Grande Bretagne et en France, et pourrait bientôt, poussé par les multinationales, devenir un standard européen. Les aliments sont classés selon un score exprimé en lettres et associé à une couleur qui va du vert foncé au rouge intense. Les protéines et les fibres sont classées parmi les composantes « bonnes » , alors que les « mauvaises » valeurs nutritionnelles comptent dans leurs rangs les calories, les graisses, les sucres simples et le sel. Cependant, ce type d’étiquetage qui, d’un côté, faciliterait la tâche aux consommateurs confus par les mentions longues et complexes, pourrait d’un autre côté les induire à simplifier et, par conséquent, à faire de...
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De la patience et quelques notions fondamentales pour lire les étiquettes
Qu’est-ce qui détermine notre choix d’un produit au supermarché ? La marque, le design, le prix, la fidélité ? Chacun de nous a une stratégie personnelle pour faire les courses, mais comment être vraiment certain de mettre dans notre panier le meilleur produit pour notre santé ? La réponse se trouve sur les étiquettes alimentaires, un outil indispensable pour s’orienter dans les rayons mais pas toujours facile à comprendre. Selon le journaliste et expert Enrico Cinotti, il existerait six additifs principaux à éviter : Les allergènes. Sur l’étiquette, ils devraient se distinguer des autres ingrédients « par la dimension, le style ou la couleur ». Les plus connus sont le lait, les céréales contenant du gluten, les œufs, le soja et les fruits à coque. Mais aussi les sulfites dans le vin. Les édulcorants. Ce sont les substituts du sucre. Moins de calories, pour tromper...
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